Mes parents m’ont transmis de belles valeurs : la persévérance, le courage, la détermination, mais surtout le sens du travail. Lorsque mon père est décédé, j’ai décidé de faire un apprentissage de cuisinier. J’ai fait mes débuts à l’hôtel Saint Georges, puis ai eu la possibilité d’acheter l’Aïda. Une villa pension qui à l’époque n’avait que 15 lits et une seule salle de bains. Depuis, l’établissement a bien changé !
Je suis très ému, et j’éprouve aussi un peu de fierté. Cela fait plus de dix ans que j’ai en tête l’évolution de l’Aïda. Et ce n’est pas fini… Mais désormais, je laisse faire mes filles.
Je ne fais plus rien (rires). En réalité, le plus important pour moi, c’est d’avoir réussi à leur transmettre l’importance de la famille. La réussite ne m’a jamais intéressé. Ce qui compte, c’est de rester unis, de s’entraider, et de s’accomplir à travers de beaux projets.
Depuis toujours j’aime le bois. Lorsque nous avons acquis l’Aïda, le Pas de l’Ours et l’Étrier, nous souhaitions redonner aux pièces d'origine leur cachet d’antan. C’était aussi une manière de préserver le patrimoine de Crans-Montana. Depuis, j’ai une menuiserie avec qui je restaure des pièces pour les utiliser dans nos hôtels.
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